En collaboration avec Chaumont-Gistoux en transition (cgEt), Fédération Inter-Environnement Wallonie ASBL, PAC Brabant wallon ASBL, Plan communal de développement de la Nature de Grez-Doiceau, Trop de Bruit en Brabant wallon ASBL, Pensée Libre de la Néthen ASBL, Groupe Sentiers de Chaumont-Gistoux ASBL
Il y a dans notre pays une voiture pour deux personnes, bébés et personnes âgées inclus. Chaque jour, les Belges parcourent l’équivalent de quelque 5 240 fois le Tour de la Terre sur le réseau routier. Un réseau qui a augmenté de 61 % ces 40 dernières années alors que, dans le même temps, l’infrastructure ferroviaire diminuait de 16 %. Ce mode de vie a des incidences à la fois environnementales, sociales, économiques et sanitaires. Nous les aborderons en partant de quelques chiffres illustratifs puis nous envisagerons les diverses solutions pour évoluer vers une mobilité plus durable.
22-09-2011 à 19h30.
Ecole communale Vanbever
Chaussée de Jodoigne 1-9,
1390 Grez-Doiceau.
Il y a dans notre pays une voiture pour deux personnes, bébés et personnes âgées inclus. Chaque jour, les Belges parcourent l’équivalent de quelque 5 240 fois le Tour de la Terre sur le réseau routier. Un réseau qui a augmenté de 61 % ces 40 dernières années alors que, dans le même temps, l’infrastructure ferroviaire diminuait de 16 %. Ce mode de vie a des incidences à la fois environnementales, sociales, économiques et sanitaires. Nous les aborderons en partant de quelques chiffres illustratifs puis nous envisagerons les diverses solutions pour évoluer vers une mobilité plus durable.22-09-2011 à 19h30.
Ecole communale Vanbever
Chaussée de Jodoigne 1-9,
1390 Grez-Doiceau.
Production et consommation sont les deux mamelles de notre économie qui repose sur le dogme d’une croissance génératrice de richesses et de bien-être. Cette vision productiviste et consumériste s’avère toutefois mathématiquement incompatible avec le milieu dans lequel nous évoluons : notre Planète est un univers fini incapable de pourvoir à des besoins infinis. (Trois planètes seraient nécessaires pour répondre à la demande d’une population mondiale ayant un niveau de consommation semblable au nôtre.) Il importe donc de revoir notre mode de vie et notre système de valeurs si nous ne voulons pas condamner cette Terre qui nous fait vivre.
Comme souvent, l’arbre cache la forêt : 300 000 personnes sont décédées en 2009, victimes directes d’un événement météorologique extrême, mais dans le même temps, 270 000 morts sont imputables aux diarrhées, malnutrition ou malaria résultant d’une dégradation de leur environnement suite aux changements climatiques en cours. Et nous n’en sommes qu’au début d’un phénomène qui provoquera de nombreux décès et jettera sur les routes des millions de réfugiés. Pourquoi cet emballement climatique ? Quelles seront ses conséquences ici et ailleurs ? Comment agir aux niveaux mondial, européen, national et local ?